Actualité

NOUVEAU DERAPAGE

Cliquez ici pour télécharger le tract et les annexes

Nouveau dérapage contrôlé !

Dans un article de la publication du club des retraités de juin 2017, réalisé en collaboration avec le service communication de JCDecaux, Michel Bonnin s’interroge sur la capacité intellectuelle des peuples à intégrer les nouvelles technologies !

La chose est ainsi posée :img_2126

« Les nouvelles technologies, si elles apportent un semblant de bien être, provoquent de tels changements dans les mentalités et demandent une telle évolution que des peuples n’ont pas la capacité intellectuelle de l’intégrer pour s’adapter au nouveau monde que l’on veut construire. L’avenir nous le dira… »

Déjà en 2011, à la question « pourquoi tant de haine dans un bulletin de retraité ? » nous répondions « parce que ce n’est pas un bulletin de retraités, mais un journal politique très engagé. »

Préjuger de la capacité intellectuelle des peuples est une expression naïve du mépris social et d’un sentiment illégitime de supériorité, comme au temps du colonialisme le plus sombre. A travers ses écrits, le rédacteur de ce texte, extrait du journal des retraités, poursuit sa croisade idéologique, insultante pour les peuples visés.

Au contraire, comme nous l’enseigne la philosophie des Lumières depuis le 18 siècle, reconnaissons et respectons le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Laissons aux peuples le choix politique des technologies qu’il convient de développer, la Charte des Valeurs Sociales Fondamentales de JCDecaux n’en sera que mieux respectée.

Précisons que le journal des retraités est fabriqué et diffusé avec les moyens de l’entreprise, dont acte.

HORAIRES INDIVIDUALISES

Cliquez ici pour télécharger le tract

projet-horaires-province-2017-07-25

L’ARNAQUE ?

La Direction a présenté au Comité d’Entreprise du 26 juillet 2017 un projet d’horaires individualisés pour les agents itinérants de province.

En principe, les horaires individualisés visent à donner aux salariés plus de liberté dans la gestion de leur temps de travail en divisant la journée de travail en deux types de périodes :

  • des plages mobiles pendant lesquelles les salariés déterminent librement leur heure d’arrivée et leur heure de départ de l’entreprise,
  • et des plages fixes, durant lesquelles la présence de tous les salariés est obligatoire.

***************

Fini les horaires aménagés du vendredi : la plage fixe imposerait d’être présent jusqu’à 13h45 pour les AES T, AEQ, AEP…

Et où est la liberté si les horaires restent déterminés par la charge de travail quotidienne (définie arbitrairement par la Direction) ?

Le système pourrait imposer des journées de 10 heures alors que l’horaire collectif actuel est de 7 heures par jour…

Aussi, en cas de maintien de ces dispositions, les élus CGT au Comité d’Entreprise exerceront leur DROIT DE VETO contre ces horaires, conformément aux dispositions prévues à l’article L. 3121-48 du Code du travail.

PRUD’HOMMES MONTPELLIER

Cliquez ici pour télécharger le tract

Jugement Prud’hommes

JCDecaux condamné

à Montpellier

Notre délégué syndical d’établissement CGT a engagé une procédure prud’homale fin 2013 pour faire reconnaître les disfonctionnements (brimades, humiliations, menaces, retards dans la fourniture du matériel…) dont il était victime de la part du gestionnaire de stock de Montpellier et ses conséquences sur le plan professionnel et psychologique, cette situation ayant perduré pendant plusieurs mois même après que l’employeur en ait été alerté.

Read More

GÉOLOCALISATION ILLICITE

Cliquez ici pour télécharger le tract

JCDecaux condamné

Au retrait du système de Géolocalisation

Les syndicats CGT et FO et le CE ont assigné la société JCDECAUX devant le Tribunal de Grande Instance pour faire interdire la mise en place et l’exploitation de son système de géolocalisation sur les véhicules des salariés itinérants.

Le tribunal a entendu nos arguments et jugé que la société JCDecaux France dispose déjà de tous les éléments nécessaires pour vérifier la bonne application des procédures internes avec le chronotachygraphe électronique et les relevés analytiques d’activité (RAA) réalisés par les salariés.

« Le système de géolocalisation, plus intrusif, ne se justifie pas en application de l’article L 1121-1 du Code du travail qui énonce que nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés individuelles et collectives de restrictions qui ne seraient pas justifiées par la nature de la tâche à accomplir ni proportionnées au but recherché. »

Le tribunal a donc ordonné le retrait du dispositif illicite de géolocalisation

En conséquence, dans l’attente du retrait du dispositif de géolocalisation, nous demandons à la Direction de neutraliser ce dispositif sans délai, faute de quoi nous inviterons le personnel concerné à basculer le système en mode “privé”, afin que le dispositif de géolocalisation soit désactivé.

CLASSIFICATION ADMINISTRATIF

Cliquez ici pour télécharger le tract

diplomeLa commission préparatoire à la négociation de

la classification des personnels administratifs JCDecaux assistant(e)s métiers

s’est réunie à nouveau le 20 Avril.

 L’enjeu de la classification est de permettre la reconnaissance de la qualification de chacun(e) selon les compétences nécessaires à un emploi donné et de hiérarchiser les rémunérations en conséquence.

La convention collective qui détermine la catégorie et le niveau selon plusieurs critères (caractéristiques de l’emploi, points-clés, niveau de formation) est rejetée par la direction au prétexte qu’elle serait « incohérente » avec l’organisation du travail dans l’entreprise.

Read More

NAO 2017 – LA CGT NE SIGNE PAS

Cliquez ici pour télécharger le tract

CONSTERNANT

Malgré la communication des bons résultats 2016 de JCDecaux, la dernière réunion de NAO n’a rien changé. Dans une enveloppe budgétaire inchangée de 1 %, seul le poids des augmentations générales a évolué depuis la dernière réunion.

9 € net par mois

Avec 0,6 % d’augmentation générale et 0,4 % d’augmentations individuelles, la Direction ignore les besoins des salariés.

CHANTAGE

Le chantage exercé par la direction était de dire, « si vous ne signez pas, je reviens à 0,5 % »

Pour 2000 € brut de base, l’augmentation de 0,6 % c’est 9 € net par mois.

Sans signature, l’augmentation de 0,5% était de 7,50 € net.

Pour les très bas salaires inférieurs à 1700 € brut de base, 0,8 % d’augmentation c’est 10 € net par mois…

Contre 0,7 % sans signature, soit 8,90 € net par mois.

L’UNSA et la CFE-CGC ont accepté de signer pour 1,50 € de plus par mois et 0 € en plus pour les cadres.

Solidarité avec les salariés ou avec la Direction ? Cherchez l’erreur !

 image-001-1988-001-8290-augmentation-salaires

Nous, la CGT, ne faisons pas l’aumône et maintenons notre revendication de 4% avec un minimum de 80 €.

NAO – LE SALAIRE EN QUESTION

Cliquez ici pour télécharger le tract

Après une première réunion de cadrage le 5 janvier dernier, la NAO commence véritablement le 19 janvier et s’achèvera le 2 février en ce qui concerne les salaires.

Pour cette négociation, nous portons des revendications communes CFDT, CGT et FO :

  • Augmentation générale de 4 % avec un minimum de 80 € par mois ;
  • 13ème mois pour sécuriser les compléments de salaire ;
  • Forfait repas égalitaire de 14 € pour tous les itinérants.

Nous revendiquons également la revalorisation des tickets restaurant à 9 € et le déplafonnement de la prime d’ancienneté.

LE SALAIRE EN QUESTION

Dans l’entreprise, la rémunération du travail n’est pas un sujet tabou tel que l’on voudrait nous le faire croire, mais une revendication légitime pour toutes les catégories de salariés.

Mais de quoi parlons-nous réellement ?

Le salaire n’est pas une récompense !

Pour la CGT, le salaire doit être la juste rémunération du travail effectué garantissant les moyens nécessaires à l’existence de chacun dans les conditions d’aujourd’hui, en dehors de tout autre élément de rémunération tel que prime aléatoire, intéressement, subvention…

Notre revendication salariale comporte un minimum de 80 € afin que les bas salaires soient moins défavorisés. En définitif, il s’agit de faire porter la négociation sur les salaires effectivement versés et non sur un pourcentage d’augmentation.

Pour la CGT, le salaire doit assurer une véritable reconnaissance des qualifications et des compétences du ou de la salarié(e).