NAO 2018 (2)

Cliquez ici pour télécharger le tract

CAPITAL contre TRAVAIL

L’année dernière, JCDecaux a distribué 119 millions d’euros aux actionnaires. Chacun des 13 000 salariés de JCDecaux a donc produit 9 150 € de richesses dans l’année… seulement pour payer ce dividende. Cela représente 762 € par mois et par salarié.

La CGT revendique 100€/mois pour tous et 150€ pour les bas salaires… Il en restera encore beaucoup pour les actionnaires !

Le budget annuel de l’augmentation salariale demandée représente environ 5 millions d’euros.charb-caissevide

En 2016, le montant global des rémunérations versées aux dix personnes les mieux rémunérées chez JCDecaux s’élève à 5,4 millions d’euros.

En 2017, l’entreprise a perçu 4,7 millions d’euros au titre du CICE et a été exonérée de cotisations sociales pour un montant de 1,3 million d’euros.

Ces chiffres caractérisent les choix et les possibilités de l’entreprise.

Pour la CGT, la rémunération du travail doit retrouver toute sa place dans l’entreprise.

Pour en finir avec l’austérité salariale qui plombe l’économie, les salariés doivent se rassembler avec les syndicats.

Soutenir les syndicats dans la négociation, c’est défendre vos intérêts.

Après, c’est vous qui voyez…

REVENDICATIONS CGT ET FO

Cliquez ici pour télécharger le tract

tract_cgtfo_nao_2018-010

 

NAO 2018

 

 

Dans le cadre de la négociation en cours, les organisations syndicales CGT et FO ont décidé de se rassembler autour d’une plateforme de revendications communes.

Ensemble nous revendiquons :

100 € / mois pour tous

Constatant des difficultés financières croissantes en fin de mois pour les salariés percevant les rémunérations les plus basses, nous revendiquons :

150 € / mois

pour les bas salaires

(moins de 2000 € brut de base)

Nous invitons l’ensemble des salariés et organisations syndicales à soutenir ces revendications.

PROJETS MACRON-MEDEF

Cliquez ici pour télécharger le tract

Projets Macron-Medef
Les raisons de se mobiliser

JEUDI 16 NOVEMBRE
Tous en grève et à la manifestation

Depuis l’élection du président Macron, nous assistons à la mise en place d’une série de réformes ultralibérales qui cassent tous nos conquis sociaux. Ces derniers ont pourtant permis de faire progresser notre société, d’élever les conditions de vie et de travail des salariés, de gagner l’allongement de l’espérance de vie, etc.

Pour la CGT, la page des ordonnances n’est pas tournée

La nouvelle réforme du droit du travail à travers toute une série de décrets en préparation est une transformation profonde des relations entre le salarié et l’employeur.

Read More

Mobilisons-nous le 19 octobre !

Cliquez ici pour télécharger le tract

La CGT appelle à la mobilisation le 19 octobre

Nous sommes opposés à la déstructuration globale du modèle social français entreprise par le gouvernement.

Les ordonnances Macron ne sont pas derrière nous. En se mobilisant, les routiers ont prouvé qu’on pouvait mettre en échec ces ordonnances. Ils ont gagné l’intégration des primes et indemnités dans le salaire de base…

jupiter-et-hermes

Les Français contestent de plus en plus ces ordonnances : 65 % d’entre eux les rejettent et 57 % approuvent les mobilisations contre ces projets gouvernementaux.

  • Contre la casse sociale,
  • Pour les 32 heures,
  • Pour les augmentations de salaire,
  • Pour la retraite pour tous par mutualisation,

Nous proposons d’agir pour le progrès social.

Mobilisons-nous le 19 octobre prochain !

ACTION DU 12 SEPTEMBRE 2017

Cliquez ici pour télécharger le tract

MARDI 12 SEPTEMBRE 2017

DÉBRAYAGE, GRÈVE, ET MANIFESTATION

VOUS NE POURREZ PAS DIRE QUE VOUS NE SAVIEZ PAS !

Les ordonnances Macron visent à donner encore moins de droits aux salariés et plus de pouvoirs aux patrons, avec pour seul but d’accentuer la mise en concurrence entre les salariés.

Précarisation générale du salariat sans protection en retour (c’est la flexibilité sans la sécurité) ;

Facilitation de tous les licenciements et plafonnement des indemnités prud’homales même en cas de licenciement « abusif », ce qui pourra permettre à un employeur de provisionner un licenciement et amortir l’embauche d’un jeune de qualification égale mais moins payé ;

Possibilité de négocier au niveau de l’entreprise des accords dérogatoires moins favorables aux salariés concernant l’emploi, les salaires ou la durée du travail ;

Regroupement des instances représentatives du personnel et marginalisation des syndicats. Bref, finie la loi pour tous, et vivent les accords à la carte sous pression patronale au nom de la compétitivité, de la concurrence ;

Pour rappel, dans certaines d’entreprises, on a imposé aux salariés des reculs sociaux qui devaient être temporaires. Des syndicats ont même cédé, le couteau sous la gorge et la mort dans l’âme. Quelques mois plus tard, les entreprises concernées fermaient boutique ;

Alors, contre le projet gouvernemental qui s’attaque à vos droits dans le Code du travail. Des droits qui seraient remis en cause, voire amenés à disparaître, comme par exemple, dans les conventions collectives : les primes diverses (ancienneté, vacances, etc.), l’intégralité du salaire versée pendant les arrêts maladie, l’indemnité conventionnelle de départ en retraite ou de licenciement…

Avant d’être personnellement concerné, Bougez-vous ! Défendez vos intérêts ! Dites non à la destruction du code du travail, votre meilleure protection.

Et si vous ne voulez pas finir un jour à la rue…

Tous dans la rue le 12 septembre.

 

NOUVEAU DERAPAGE

Cliquez ici pour télécharger le tract et les annexes

Nouveau dérapage contrôlé !

Dans un article de la publication du club des retraités de juin 2017, réalisé en collaboration avec le service communication de JCDecaux, Michel Bonnin s’interroge sur la capacité intellectuelle des peuples à intégrer les nouvelles technologies !

La chose est ainsi posée :img_2126

« Les nouvelles technologies, si elles apportent un semblant de bien être, provoquent de tels changements dans les mentalités et demandent une telle évolution que des peuples n’ont pas la capacité intellectuelle de l’intégrer pour s’adapter au nouveau monde que l’on veut construire. L’avenir nous le dira… »

Déjà en 2011, à la question « pourquoi tant de haine dans un bulletin de retraité ? » nous répondions « parce que ce n’est pas un bulletin de retraités, mais un journal politique très engagé. »

Préjuger de la capacité intellectuelle des peuples est une expression naïve du mépris social et d’un sentiment illégitime de supériorité, comme au temps du colonialisme le plus sombre. A travers ses écrits, le rédacteur de ce texte, extrait du journal des retraités, poursuit sa croisade idéologique, insultante pour les peuples visés.

Au contraire, comme nous l’enseigne la philosophie des Lumières depuis le 18 siècle, reconnaissons et respectons le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Laissons aux peuples le choix politique des technologies qu’il convient de développer, la Charte des Valeurs Sociales Fondamentales de JCDecaux n’en sera que mieux respectée.

Précisons que le journal des retraités est fabriqué et diffusé avec les moyens de l’entreprise, dont acte.

HORAIRES INDIVIDUALISES

Cliquez ici pour télécharger le tract

projet-horaires-province-2017-07-25

L’ARNAQUE ?

La Direction a présenté au Comité d’Entreprise du 26 juillet 2017 un projet d’horaires individualisés pour les agents itinérants de province.

En principe, les horaires individualisés visent à donner aux salariés plus de liberté dans la gestion de leur temps de travail en divisant la journée de travail en deux types de périodes :

  • des plages mobiles pendant lesquelles les salariés déterminent librement leur heure d’arrivée et leur heure de départ de l’entreprise,
  • et des plages fixes, durant lesquelles la présence de tous les salariés est obligatoire.

***************

Fini les horaires aménagés du vendredi : la plage fixe imposerait d’être présent jusqu’à 13h45 pour les AES T, AEQ, AEP…

Et où est la liberté si les horaires restent déterminés par la charge de travail quotidienne (définie arbitrairement par la Direction) ?

Le système pourrait imposer des journées de 10 heures alors que l’horaire collectif actuel est de 7 heures par jour…

Aussi, en cas de maintien de ces dispositions, les élus CGT au Comité d’Entreprise exerceront leur DROIT DE VETO contre ces horaires, conformément aux dispositions prévues à l’article L. 3121-48 du Code du travail.

PRUD’HOMMES MONTPELLIER

Cliquez ici pour télécharger le tract

Jugement Prud’hommes

JCDecaux condamné

à Montpellier

Notre délégué syndical d’établissement CGT a engagé une procédure prud’homale fin 2013 pour faire reconnaître les disfonctionnements (brimades, humiliations, menaces, retards dans la fourniture du matériel…) dont il était victime de la part du gestionnaire de stock de Montpellier et ses conséquences sur le plan professionnel et psychologique, cette situation ayant perduré pendant plusieurs mois même après que l’employeur en ait été alerté.

Read More

GÉOLOCALISATION ILLICITE

Cliquez ici pour télécharger le tract

JCDecaux condamné

Au retrait du système de Géolocalisation

Les syndicats CGT et FO et le CE ont assigné la société JCDECAUX devant le Tribunal de Grande Instance pour faire interdire la mise en place et l’exploitation de son système de géolocalisation sur les véhicules des salariés itinérants.

Le tribunal a entendu nos arguments et jugé que la société JCDecaux France dispose déjà de tous les éléments nécessaires pour vérifier la bonne application des procédures internes avec le chronotachygraphe électronique et les relevés analytiques d’activité (RAA) réalisés par les salariés.

« Le système de géolocalisation, plus intrusif, ne se justifie pas en application de l’article L 1121-1 du Code du travail qui énonce que nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés individuelles et collectives de restrictions qui ne seraient pas justifiées par la nature de la tâche à accomplir ni proportionnées au but recherché. »

Le tribunal a donc ordonné le retrait du dispositif illicite de géolocalisation

En conséquence, dans l’attente du retrait du dispositif de géolocalisation, nous demandons à la Direction de neutraliser ce dispositif sans délai, faute de quoi nous inviterons le personnel concerné à basculer le système en mode “privé”, afin que le dispositif de géolocalisation soit désactivé.

CLASSIFICATION ADMINISTRATIF

Cliquez ici pour télécharger le tract

diplomeLa commission préparatoire à la négociation de

la classification des personnels administratifs JCDecaux assistant(e)s métiers

s’est réunie à nouveau le 20 Avril.

 L’enjeu de la classification est de permettre la reconnaissance de la qualification de chacun(e) selon les compétences nécessaires à un emploi donné et de hiérarchiser les rémunérations en conséquence.

La convention collective qui détermine la catégorie et le niveau selon plusieurs critères (caractéristiques de l’emploi, points-clés, niveau de formation) est rejetée par la direction au prétexte qu’elle serait « incohérente » avec l’organisation du travail dans l’entreprise.

Read More

NAO 2017 – LA CGT NE SIGNE PAS

Cliquez ici pour télécharger le tract

CONSTERNANT

Malgré la communication des bons résultats 2016 de JCDecaux, la dernière réunion de NAO n’a rien changé. Dans une enveloppe budgétaire inchangée de 1 %, seul le poids des augmentations générales a évolué depuis la dernière réunion.

9 € net par mois

Avec 0,6 % d’augmentation générale et 0,4 % d’augmentations individuelles, la Direction ignore les besoins des salariés.

CHANTAGE

Le chantage exercé par la direction était de dire, « si vous ne signez pas, je reviens à 0,5 % »

Pour 2000 € brut de base, l’augmentation de 0,6 % c’est 9 € net par mois.

Sans signature, l’augmentation de 0,5% était de 7,50 € net.

Pour les très bas salaires inférieurs à 1700 € brut de base, 0,8 % d’augmentation c’est 10 € net par mois…

Contre 0,7 % sans signature, soit 8,90 € net par mois.

L’UNSA et la CFE-CGC ont accepté de signer pour 1,50 € de plus par mois et 0 € en plus pour les cadres.

Solidarité avec les salariés ou avec la Direction ? Cherchez l’erreur !

 image-001-1988-001-8290-augmentation-salaires

Nous, la CGT, ne faisons pas l’aumône et maintenons notre revendication de 4% avec un minimum de 80 €.