LE 22 MARS, MOBILISONS-NOUS…
Cliquez ici pour télécharger le tract
Cliquez ici pour télécharger le tract
Cliquez ici pour télécharger le tract
Cette année encore, notre Patron milliardaire a encore fait preuve d’une grande générosité dans les augmentations à l’égard de ceux qui font tourner sa boîte, d’ailleurs, beaucoup l’ont remercié autour de la galette annuelle.
Cliquez ici pour télécharger le tract
L’année dernière, JCDecaux a distribué 119 millions d’euros aux actionnaires. Chacun des 13 000 salariés de JCDecaux a donc produit 9 150 € de richesses dans l’année… seulement pour payer ce dividende. Cela représente 762 € par mois et par salarié.
La CGT revendique 100€/mois pour tous et 150€ pour les bas salaires… Il en restera encore beaucoup pour les actionnaires !
Le budget annuel de l’augmentation salariale demandée représente environ 5 millions d’euros.
En 2016, le montant global des rémunérations versées aux dix personnes les mieux rémunérées chez JCDecaux s’élève à 5,4 millions d’euros.
En 2017, l’entreprise a perçu 4,7 millions d’euros au titre du CICE et a été exonérée de cotisations sociales pour un montant de 1,3 million d’euros.
Ces chiffres caractérisent les choix et les possibilités de l’entreprise.
Pour la CGT, la rémunération du travail doit retrouver toute sa place dans l’entreprise.
Pour en finir avec l’austérité salariale qui plombe l’économie, les salariés doivent se rassembler avec les syndicats.
Soutenir les syndicats dans la négociation, c’est défendre vos intérêts.
Après, c’est vous qui voyez…
Cliquez ici pour télécharger le tract
Dans le cadre de la négociation en cours, les organisations syndicales CGT et FO ont décidé de se rassembler autour d’une plateforme de revendications communes.
Constatant des difficultés financières croissantes en fin de mois pour les salariés percevant les rémunérations les plus basses, nous revendiquons :
Nous invitons l’ensemble des salariés et organisations syndicales à soutenir ces revendications.
Cliquez ici pour télécharger le tract
La réunion du 11 janvier a ouvert la négociation annuelle obligatoire (NAO) en établissant le calendrier de négociation :
Cliquez ici pour télécharger le tract
Pour contredire ce propos, Jean Christophe Ramos, délégué CGT, a rappelé, pour exemple, qu’il ne gagnait que 1343 € par mois et que si Thierry Raulin ne considérait pas ce salaire comme bas, il était prêt à l’échanger avec le sien.
Cliquez ici pour télécharger le tract
Depuis l’élection du président Macron, nous assistons à la mise en place d’une série de réformes ultralibérales qui cassent tous nos conquis sociaux. Ces derniers ont pourtant permis de faire progresser notre société, d’élever les conditions de vie et de travail des salariés, de gagner l’allongement de l’espérance de vie, etc.
Pour la CGT, la page des ordonnances n’est pas tournée
La nouvelle réforme du droit du travail à travers toute une série de décrets en préparation est une transformation profonde des relations entre le salarié et l’employeur.
Cliquez ici pour télécharger le tract
Nous sommes opposés à la déstructuration globale du modèle social français entreprise par le gouvernement.
Les ordonnances Macron ne sont pas derrière nous. En se mobilisant, les routiers ont prouvé qu’on pouvait mettre en échec ces ordonnances. Ils ont gagné l’intégration des primes et indemnités dans le salaire de base…
Les Français contestent de plus en plus ces ordonnances : 65 % d’entre eux les rejettent et 57 % approuvent les mobilisations contre ces projets gouvernementaux.
Cliquez ici pour télécharger le tract
Les ordonnances Macron visent à donner encore moins de droits aux salariés et plus de pouvoirs aux patrons, avec pour seul but d’accentuer la mise en concurrence entre les salariés.
Précarisation générale du salariat sans protection en retour (c’est la flexibilité sans la sécurité) ;
Facilitation de tous les licenciements et plafonnement des indemnités prud’homales même en cas de licenciement « abusif », ce qui pourra permettre à un employeur de provisionner un licenciement et amortir l’embauche d’un jeune de qualification égale mais moins payé ;
Possibilité de négocier au niveau de l’entreprise des accords dérogatoires moins favorables aux salariés concernant l’emploi, les salaires ou la durée du travail ;
Regroupement des instances représentatives du personnel et marginalisation des syndicats. Bref, finie la loi pour tous, et vivent les accords à la carte sous pression patronale au nom de la compétitivité, de la concurrence ;
Pour rappel, dans certaines d’entreprises, on a imposé aux salariés des reculs sociaux qui devaient être temporaires. Des syndicats ont même cédé, le couteau sous la gorge et la mort dans l’âme. Quelques mois plus tard, les entreprises concernées fermaient boutique ;
Alors, contre le projet gouvernemental qui s’attaque à vos droits dans le Code du travail. Des droits qui seraient remis en cause, voire amenés à disparaître, comme par exemple, dans les conventions collectives : les primes diverses (ancienneté, vacances, etc.), l’intégralité du salaire versée pendant les arrêts maladie, l’indemnité conventionnelle de départ en retraite ou de licenciement…
Avant d’être personnellement concerné, Bougez-vous ! Défendez vos intérêts ! Dites non à la destruction du code du travail, votre meilleure protection.
Cliquez ici pour télécharger le tract et les annexes
Dans un article de la publication du club des retraités de juin 2017, réalisé en collaboration avec le service communication de JCDecaux, Michel Bonnin s’interroge sur la capacité intellectuelle des peuples à intégrer les nouvelles technologies !
« Les nouvelles technologies, si elles apportent un semblant de bien être, provoquent de tels changements dans les mentalités et demandent une telle évolution que des peuples n’ont pas la capacité intellectuelle de l’intégrer pour s’adapter au nouveau monde que l’on veut construire. L’avenir nous le dira… »
Déjà en 2011, à la question « pourquoi tant de haine dans un bulletin de retraité ? » nous répondions « parce que ce n’est pas un bulletin de retraités, mais un journal politique très engagé. »
Préjuger de la capacité intellectuelle des peuples est une expression naïve du mépris social et d’un sentiment illégitime de supériorité, comme au temps du colonialisme le plus sombre. A travers ses écrits, le rédacteur de ce texte, extrait du journal des retraités, poursuit sa croisade idéologique, insultante pour les peuples visés.
Au contraire, comme nous l’enseigne la philosophie des Lumières depuis le 18e siècle, reconnaissons et respectons le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Laissons aux peuples le choix politique des technologies qu’il convient de développer, la Charte des Valeurs Sociales Fondamentales de JCDecaux n’en sera que mieux respectée.
Précisons que le journal des retraités est fabriqué et diffusé avec les moyens de l’entreprise, dont acte.
Cliquez ici pour télécharger le tract
projet-horaires-province-2017-07-25
La Direction a présenté au Comité d’Entreprise du 26 juillet 2017 un projet d’horaires individualisés pour les agents itinérants de province.
En principe, les horaires individualisés visent à donner aux salariés plus de liberté dans la gestion de leur temps de travail en divisant la journée de travail en deux types de périodes :
***************
Fini les horaires aménagés du vendredi : la plage fixe imposerait d’être présent jusqu’à 13h45 pour les AES T, AEQ, AEP…
Et où est la liberté si les horaires restent déterminés par la charge de travail quotidienne (définie arbitrairement par la Direction) ?
Le système pourrait imposer des journées de 10 heures alors que l’horaire collectif actuel est de 7 heures par jour…
Aussi, en cas de maintien de ces dispositions, les élus CGT au Comité d’Entreprise exerceront leur DROIT DE VETO contre ces horaires, conformément aux dispositions prévues à l’article L. 3121-48 du Code du travail.
Cliquez ici pour télécharger le tract
Après le rejet par la Direction des revendications de 13ème mois lors des dernières NAO, et afin de permettre aux salariés de percevoir ce que bon nombre d’entre eux considère comme tel, la CGT a décidé, une nouvelle fois, de signer l’accord triennal d’intéressement 2017-2019.
Cliquez ici pour télécharger le tract
Notre délégué syndical d’établissement CGT a engagé une procédure prud’homale fin 2013 pour faire reconnaître les disfonctionnements (brimades, humiliations, menaces, retards dans la fourniture du matériel…) dont il était victime de la part du gestionnaire de stock de Montpellier et ses conséquences sur le plan professionnel et psychologique, cette situation ayant perduré pendant plusieurs mois même après que l’employeur en ait été alerté.
Cliquez ici pour télécharger le tract
Les syndicats CGT et FO et le CE ont assigné la société JCDECAUX devant le Tribunal de Grande Instance pour faire interdire la mise en place et l’exploitation de son système de géolocalisation sur les véhicules des salariés itinérants.
Le tribunal a entendu nos arguments et jugé que la société JCDecaux France dispose déjà de tous les éléments nécessaires pour vérifier la bonne application des procédures internes avec le chronotachygraphe électronique et les relevés analytiques d’activité (RAA) réalisés par les salariés.
« Le système de géolocalisation, plus intrusif, ne se justifie pas en application de l’article L 1121-1 du Code du travail qui énonce que nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés individuelles et collectives de restrictions qui ne seraient pas justifiées par la nature de la tâche à accomplir ni proportionnées au but recherché. »
Le tribunal a donc ordonné le retrait du dispositif illicite de géolocalisation
En conséquence, dans l’attente du retrait du dispositif de géolocalisation, nous demandons à la Direction de neutraliser ce dispositif sans délai, faute de quoi nous inviterons le personnel concerné à basculer le système en mode “privé”, afin que le dispositif de géolocalisation soit désactivé.
Cliquez ici pour télécharger le tract
La commission préparatoire à la négociation de
la classification des personnels administratifs JCDecaux assistant(e)s métiers
s’est réunie à nouveau le 20 Avril.
L’enjeu de la classification est de permettre la reconnaissance de la qualification de chacun(e) selon les compétences nécessaires à un emploi donné et de hiérarchiser les rémunérations en conséquence.
La convention collective qui détermine la catégorie et le niveau selon plusieurs critères (caractéristiques de l’emploi, points-clés, niveau de formation) est rejetée par la direction au prétexte qu’elle serait « incohérente » avec l’organisation du travail dans l’entreprise.
Cliquez ici pour télécharger le tract
Cliquez ici pour télécharger le tract
Malgré la communication des bons résultats 2016 de JCDecaux, la dernière réunion de NAO n’a rien changé. Dans une enveloppe budgétaire inchangée de 1 %, seul le poids des augmentations générales a évolué depuis la dernière réunion.
Avec 0,6 % d’augmentation générale et 0,4 % d’augmentations individuelles, la Direction ignore les besoins des salariés.
Le chantage exercé par la direction était de dire, « si vous ne signez pas, je reviens à 0,5 % »
Pour 2000 € brut de base, l’augmentation de 0,6 % c’est 9 € net par mois.
Sans signature, l’augmentation de 0,5% était de 7,50 € net.
Pour les très bas salaires inférieurs à 1700 € brut de base, 0,8 % d’augmentation c’est 10 € net par mois…
Contre 0,7 % sans signature, soit 8,90 € net par mois.
L’UNSA et la CFE-CGC ont accepté de signer pour 1,50 € de plus par mois et 0 € en plus pour les cadres.
Solidarité avec les salariés ou avec la Direction ? Cherchez l’erreur !
Cliquez ici pour télécharger le tract
Seulement 0,3 % d’augmentation générale et 0,7 % en individuel (zéro en augmentation générale pour les cadres). C’est le montant décidé unilatéralement par Jean-Charles Decaux. La discussion sur les salaires est close avant même d’avoir commencé !